Die Kompanie mikro-kit
vereint junge franko-schweizer und Berliner Künstler_innen. Unser gemeinsames Ziel ist, gesellschaftlichen Phänomenen nachzuspüren, indem wir individuelle Lebenswege, singuläre Situationen und Mikrokosmen beleuchten und auf die Bühne bringen.
Zuletzt inszenierte die Kompanie mikro-kit unter dem Titel “Qui a peur d’Hamlet?” eine Adaption von Shakespeares “Hamlet”.
(vom 30. Oktober bis 1. November 2018 am Théâtre Benno Besson, Yverdon-les-Bains, vom 9. bis zum 17. November 2018 am Théâtre de Vidy, Lausanne, und vom 20. bis zum 23. November 2018 am Théâtre du Pommier, Neuchâtel)
Aktuell läuft in der Spielzeit 2018/2019 Lydia Dimitrows und Magali Tosatos Stück “Mettlach” am Saarländischen Staatstheater.
(Premiere am 18. Januar 2019 am Saarländischen Staatstheater, weitere Informationen: hier. Weitere Spieltermine am 22., 25., 27. Januar, 1., 9., 22., 23. Februar, am 7., 8., 22. März und am 3. April 2019 am Saarländischen Staatstheater sowie am 12., 13. und 14. März 2019 an den Théâtres de la Ville du Luxembourg. Mehr dazu hier.)
Als nächstes wird die Kompanie mikro-kit “Wilde wilde Wesen” zur Uraufführung bringen, ein Objekttheaterstück mit digitalen/analogen Projektionen von mikro-kit & Alessandro Maggioni.
(Premiere am 25. April 2019 an der Schaubude Berlin. Weitere Spieltermine vom 25. bis zum 28. April an der Schaubude Berlin und am 11. Mai im T-Werk Potsdam (Ausschnitt); weitere Gastspiele in München und Osnabrück in Planung.)
Projekte
Team
Presse
Qui a peur d'Hamlet?
La compagnie mikro-kit fait une fois de plus un sans-faute
novembre 2018
Le Courrier
“Voilà donc une pièce qui permet de connaître le drame le plus célèbre de Shakespeare et d’en rire. Cela pourrait s’arrêter là, mais aurait enlever toute la profondeur de ce spectacle qui soulève de puissants questionnements. (…) A tout juste 30 ans, Magali Tosato propose une nouvelle réflexion sur le monde dans lequel nous vivons.”
Extrait de: “Enquête sur Hamlet”
Avec humour et brio
12.11.2018
LE BRUIT DUOFFTRIBUNE
“C’est donc un Hamlet à la portée de toutes et tous qui nous est proposé : une tragédie humaine séculaire empreinte de la nuance contemporaine qui nous en rapproche, tout cela saupoudré d’humour et de connivence avec l’assistance. Et une épatante scénographie.”
Extrait de: “Qui a peur d’Hamlet?, Shakespeare version polar truculent”
Luxus/ Liebe
Le théâtre engagé de Magali Tosato
18.02.2017
La Liberté
« En montant son Hamlet, qui a eu beaucoup de succès dans les classes vaudoises, elle n’a pas pu s’empêcher d’étoffer le pâle rôle d’Ophélie. La conscience «des rapports de domination» et des discriminations entre hommes et femmes ou vis-à-vis des étrangers est dans son ADN. (…) L’idée d’une pièce au carrefour de l’amour, de la marginalisation et de la politique migratoire s’impose. (..) En interrogeant les conditions de mariage en Suisse, en interviewant des couples, le Service de la population, des juges, elle n’a pas peur de poser des questions dérangeantes. »
Une pièce pour explorer les arcanes du mariage d’amour ou de raison
03.03.2017
RTS Radio Culture
« A Vidy, la pièce “Amour/Luxe” explore avec finesse et humour la vie de centaines de couples en Suisse romande. Lorsque la personne que vous aimez n’a pas les bons papiers, voire pas de papiers, le mariage va-t-il de soi? (…) Du théâtre documentaire révélateur et passionnant. »
Home-Made
Dandy en deshérence
Octobre 2015
SORTIRch
« On se souvient de Mars, électrochoc signé Fritz Zorn en 1977 et magnifiquement interprété par Jean-Quentin Châtelain dès 1992. La confession d’un jeune Zurichois convaincu que son cancer était dû à son milieu, cette bourgeoisie fortunée de la Goldküste dont la richesse émotionnelle et humaine était inversement proportionnelle à celle du compte en banque. Magali Tosato, nouvelle venue sur la scène contemporaine, reprend cette idée de dandy en deshérence et l’étudie sous l’angle de la perte de réalité. « Ce qui est intéressant, dit la jeune femme qui s’est formée à la prestigieuse école de théâtre Ernst Busch, à Berlin, c’est de comprendre pourquoi un mâle hétérosexuel blanc et riche, qui a toutes les cartes en main, ne peut pas les utiliser. » Un empêchement que cette diplômée en histoire et littérature française visite sous l’angle de l’absurde, au moyen d’improvisations et de recherches documentaires. (…) Sur le plateau, Tomas Gonzalez et le très habile Baptiste Coustenoble »
A Vidy-Lausanne, Magali Tosato, nouvelle venue sur la scène romande, interroge l’aliénation de toute éducation en proposant à ses deux comédiens d’explorer cette thèse sous l’angle privé
29.09.2015
Le Temps
« Et si la mère nourricière marchait main dans la main avec la mère patrie pour fabriquer de parfaits citoyens ? Et si, en transmettant ses valeurs d’obéissance, de réussite et de bonheur tranquille, la Suissesse moyenne contribuait à une vaste entreprise de conditionnement ? Ces questions, qui claquaient déjà au coeur de Mars, de Fritz Zorn, dans des termes violents, animent de façon plus douce Home-Made, spectacle de Magali Tosato, nouvelle venue sur la scène romande. Entre plantes vertes et pupitres, deux comédiens puisent dans leur propre vécu de quoi questionner la thèse posée par l’intelligentsia helvétique des années 1970. Une manière moins idéologique et plus drôle de faire le procès de l’aliénation que suppose toute éducation. (…) La part privée ? Elle est illustrée par des vidéos projetées sur une paroi en bois, au bas de laquelle on peut lire, en découpe, un ironique « Paradiso ». Hilarants, ces films amateur montrent Baptiste, petit, interpréter notamment un morceau de fromage sautant dans un caquelon pour la danse de la fondue (véridique). Le public rit, mais réalise aussi l’immuable archaïsme de ces rondes scolaires… Biographiques aussi, ces moments où les deux acteurs interrogent leur maman, caméra au poing. Une parole touchante, qui avoue « la peur d’être quittée » et dit l’ambiguïté de la relation. A travers Max Frisch et Fritz Zorn, on entend des propos plus durs sur ce système pensé par les édiles et relayé par les sujets pour étouffer toute envie de résister. En Suisse, l’éducation, comme la société, est lisse et joyeuse. Et terrifiante. »
Extrait de « Ô maman suppôt de l’Etat »
Hamlet in den Schulen
Un moment magique
27.03.2015
Département de la formation de la jeuness et de la culture
« Excellent moment que cette opération de 1h30, au cours de laquelle quatre acteurs mettent le public en condition, montrent et démontrent le texte de Shakespeare, l’entrecoupent d’un texte de leur crû ou d’autres auteurs qui ont travaillé le personnage de Hamlet. Spectacle toujours de haute tenue - même si les costumes et accessoires sont simplissimes - mettant en valeur le rôle de l’acteur dans la relecture d’un texte, suscitant le débat sur l’interprétation. Bref un moment magique avec ces deux femmes et ces deux hommes, tantôt personnages de Hamlet, tantôt acteurs interagissant avec le public, déambulant au milieu de la classe, entre les rangées de tables auxquelles sont assis-es des préapprenti-e-s extrêmement présent-e-s et attentifs-ives. (…) Ces quelques quarante ou cinquante spectateurs sont accrochés, rient, participent quand on les y invite. Aucune, aucun ne rechigne quand il s’agit d’interagir avec les comédiens. (…) Les applaudissements sont chaleureux et vrais. »
Denis Aubert, Adjoint, Département de la formation de la jeuness et de la culture, Direction générale de l’enseignement postobligatoire, Enseignement gymnasial, Canton de Vaud (27.03.2015)
Une bombe dʹénergie et dʹintelligence
12.05.2016
Vertigo, RTS
„Le classique de Shakespeare comme vous ne lʹavez jamais vécu. Envoyé en moins dʹune heure. Avec participation du public, quatre comédiens en embuscade au milieu des spectateurs et des saillies contemporaines sur le sens du texte et des personnages. Cet “Hamlet” signé Magali Tosato est une bombe dʹénergie et dʹintelligence. Son seul défaut: la pièce tourne exclusivement dans les établissements scolaires à destination des élèves. Trop injuste!”
I love Italy and Italy loves me
Liebe ohne Schnulze
14.04.2014
metropolkultur.com
„Die jungen Darsteller der Hochschule Ernst Busch spielen Szenen aus dem Leben Imperias und Giannis nach: vom Kennenlernen, von der Zeit als Gastarbeiter in der Schweiz, vom Ruhestand in Italien. (…) Und jeder stellt sich die Frage: Wie stellen es Menschen an, dass sie so lange zusammenbleiben und das für jeden erkennbar auch noch glücklich? Ist es eine Mischung aus Liebe, Gewöhnung und Zufriedenheit? Vielleicht. Aber letztlich muss sich jeder Zuschauer die Antwort darauf selbst geben. Mit einem haben wir es hier aber nicht zu tun: mit einer Schnulze. Obwohl sich nach der eineinhalbstündiger Liebesgeschichte auf der Bühne mancher eine Träne aus den Augen wischen musste.“
Auszug aus: “Mama, Papa, Oma auf die Bühne – ein neuer Trend auf Berlins Bühnen?”
Eine Aufführung voller Charme und Authentizität
19.03.2013
Livekritik.de
“Endlich mal ein Theaterstück, das nichts anderes sein will, als es tatsächlich darstellt. Und das dennoch die Gedanken weiter befördert, als sie von allein gegangen wären. (…) Das Bühnenbild von Franziska Keune ist ebenso simpel wie auf raffinierte Weise effizient: das Abbild einer Doppelhausfront mit Eternit-Fassadenverkleidung, stabil und über die volle Bühnenbreite ausladend, an der Bühnendecke drehbar eingeklinkt, am Boden auf Rollen aufgesetzt, wodurch sich das Ganze mühelos anschieben und in eine kreisende Drehbewegung versetzen lässt. Diese Kulisse dient gleichzeitig als Projektionswand für Ausschnitte aus dem Tosato-Filmmaterial. Dazu ein paar pinkfarbene Hüpfbälle, die sowohl als Sitzgelegenheiten wie fürs unentbehrliche Boccia-Spiel zu verwenden sind. Vorn links schließlich drei ausgesuchte Musiker, Felicitas Conrad mit Cello, Camille Phelep am Klavier und Arian Stechert am Schlagzeug, die sich songbegleitend einbringen und einmal sämtliche Mitspieler in eine mitreißende Percussion-Session einbinden.
Was aber am stärksten in Erinnerung bleibt, sind nicht darstellerische Kabinettstückchen, sondern ist die zumeist ganz leise angesetzte Ensembleleistung (…). Viel Beifall für das Ensemble und, wie gesagt, auch für die als Zuschauer anwesenden Großeltern der Autorin. Beinahe ein Familienfest.”
Titel des Artikels: “I love Italy and Italy loves me”